1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 aint est un homme que Dieu a mis à part par grâce pour qu’ il serve. Mais très vite on étend l’appellation de saint à ceux qui pa
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
2 e à ses propres mensonges ? Peut-être juste assez pour qu’ ils vous aident3 — mais jamais au point d’oublier la vérité qu’on dési
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
3 ait d’abord qu’ils se soient délivrés d’eux-mêmes pour que ce mot, ce geste, soient possibles. C’est d’Armande surtout qu’on les
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
4 r un Dieu. Ce n’est pas à genoux qu’on attendra : pour que cela eût un sens, il faudrait être sûr de n’avoir pas la tête en bas
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
5 ui offrit immédiatement un fauteuil et un violon, pour qu’ il en joue, au printemps, s’il savait … R.S.V.P. À Max-Marc-Jean
6 : « Je suis né pour la mort. » Il fait assez beau pour que s’ouvre ce cœur de l’après-midi, comme un camélia de tendre orgueil.
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 lle gémir. Une certaine résistance est nécessaire pour que la force se développe. N’était certain petit plaisir d’impertinence,
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 e promenade où il y avait juste assez de passants pour qu’ on la sentît déserte ne me proposait qu’une frileuse nostalgie. Mais q
8 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
9 vante Bettina, rêvé sans doute assez profondément pour qu’ aujourd’hui le hasard qui m’amène à Tubingue ne soit pas seulement un
9 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
10 on s’étonne qu’il ait fallu plus d’un demi-siècle pour qu’ une telle interprétation voie le jour. Cela pourrait donner lieu à de
10 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
11 désintéressé. C’est un extrême, un pic trop élevé pour qu’ on y puisse vivre, c’est l’impossible. Mais justement, la gloire de M.
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
12 s choses qu’on ne comprend pas, la prière du soir pour qu’ il fasse beau demain, Michel Strogoff et Rémy un fils de vaincus, les
13 ans de ce régime, on m’avait suffisamment rabroué pour que je ne montrasse plus aucune velléité d’originalité. Mais pour être re
14 première réponse fut : Il faut que ce soit vrai, pour que la démocratie prospère et étende ses conquêtes. C’était découvrir not
15 x-ci lui laissèrent-ils assez de verdeur d’esprit pour qu’ il pût se dégager de leur empire. Mais on avait brisé en nous ces ress
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
16 e, avouez-le, que juste la spontanéité nécessaire pour que ça ne soit pas une lourde farce. Ces exagérations ne sont pas bien gr
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
17 faut de l’histoire, et de l’instruction civique, pour qu’ on sache à quoi cela rime. Ensuite, il faut une discipline sévère dès
18 dérable de leçons, et le plus longtemps possible, pour qu’ on n’ait pas le temps de se rendre compte que tout cela est absurde. P
19 ps de se rendre compte que tout cela est absurde. Pour qu’ on n’ait pas le temps d’écouter la nature qui répète par toutes ses vo
20 voix, d’un milliard de façons, que c’est absurde. Pour qu’ on n’ait pas le temps de découvrir la Liberté9, parce que celui qui l’
21 évolution scolaire ; car il ne faudrait pas moins pour que l’école rattrape l’époque… Mais les gouvernements savent ce qu’ils fo
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
22 s choses qu’on ne comprend pas, la prière du soir pour qu’ il fasse beau demain, Michel Strogoff et Rémy un fils de vaincus, les
23 ans de ce régime, on m’avait suffisamment rabroué pour que je ne montrasse plus aucune velléité d’originalité. Mais pour être r
24 première réponse fut : Il faut que ce soit vrai, pour que la démocratie prospère et étende ses conquêtes. C’était découvrir not
25 x-ci lui laissèrent-ils assez de verdeur d’esprit pour qu’ il pût se dégager de leur empire. Mais on avait brisé en nous ces ress
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
26 e, avouez-le, que juste la spontanéité nécessaire pour que ça ne soit pas une lourde farce. Ces exagérations ne sont pas bien gr
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
27 faut de l’histoire, et de l’instruction civique, pour qu’ on sache à quoi cela rime. Ensuite, il faut une discipline sévère dès
28 dérable de leçons, et le plus longtemps possible, pour qu’ on n’ait pas le temps de se rendre compte que tout cela est absurde. P
29 ps de se rendre compte que tout cela est absurde. Pour qu’ on n’ait pas le temps d’écouter la nature qui répète par toutes ses vo
30 voix, d’un milliard de façons, que c’est absurde. Pour qu’ on n’ait pas le temps de découvrir la Liberté 9, parce que celui qui l
31 évolution scolaire ; car il ne faudrait pas moins pour que l’école rattrape l’époque… Mais les gouvernements savent ce qu’ils fo
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
32 ux communs. Mais il s’en faut, hélas, de beaucoup pour que la majorité des électeurs les considèrent comme tels. Et je ne me tie
18 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
33 vignes, à peine détachée du flanc de la colline, pour que les vents ne l’emportent pas. L’après-midi est immense. Nous buvons d
19 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
34 urité — mais ceux-là difficilement traduisibles — pour que nous puissions contempler l’ensemble de l’œuvre de Hölderlin : l’insp
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
35 couent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’ on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de plaine, comme les a
21 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
36 re qu’un plus grand nombre d’artistes exposassent pour qu’ une réponse valable pût être esquissée. Car, avouons-le, du fait même
22 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
37 -ils ? Car il faut qu’un idéal ait « pris corps » pour qu’ il devienne « applicable ». On ne crée rien de vivant avec ce qu’on a,
38 t les mille petites souffrances de la souffrance, pour qu’ une idée devienne ce mythe qui vive en nous et dans lequel nous vivion
23 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
39 soi et de n’en découvrir que juste ce qu’il faut pour qu’ elles puissent être de quelque avantage aux autres11… L’homme n’est pa
24 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
40 . Il suffit d’un Léon Daudet, d’une Marthe Hanau, pour que l’on sente toujours vigilante la terreur bourgeoise. Matraques et rev
41 ste à envelopper la violence d’assez de mensonges pour que le bourgeois ne se rende plus compte de sa responsabilité, de sa comp
42 ntenant, de préparer une Révolution assez totale, pour que de telles erreurs n’y puissent trouver place. Rappelons deux principe
25 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
43 ions Candide d’avoir poussé les choses assez loin pour que la seule « réaction » possible de tout ce qu’il y a d’honnête dans so
26 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
44 idéal » que nous avons à lutter hic et nunc, mais pour que les hommes vivent et demeurent des hommes. Il y a deux camps : ceux
45 toutes les conditions théoriques prévues par Marx pour qu’ une révolution éclate. Il ne se passe rien. Parce qu’on manque de chef
27 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
46 e promenade où il y avait juste assez de passants pour qu’ on la sentît déserte ne me proposait qu’une frileuse nostalgie. Mais q
28 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
47 dans un suprême délice de libération, une prière pour que l’amour soit bien-aimé… Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard
48 naissent en moi. Cependant que l’autre, trop vite pour que j’aie pu bouger, a baisé sur les lèvres une femme qui devient pâle et
49 is les jeunes filles sont parfois trop émouvantes pour qu’ on ose les embrasser. — Je tenais sa main, — ho ! qui l’a retirée des
29 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
50 vignes, à peine détachée du flanc de la colline ( pour que les vents ne l’emportent pas), un beau nid de poète : car demeurer ic
51 couent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’ on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de plaine, comme les a
30 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
52 vante Bettina, rêvé sans doute assez profondément pour qu’ aujourd’hui le hasard qui m’amène à Tubingue ne soit pas seulement un
31 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
53 Étranger. On a laissé sa photo dans ma chambre, «  pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa mère, avec un clin d’œil. C’est u
54 ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à guérir pour qu’ on me laisse errer dans la campagne. La petite ville au crépuscule, co
55 e a rapidement noué son collier à mon poignet : «  pour que je rêve d’elle ». Son sérieux enfantin devant la vie. « Es ist doch S
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
56 dans un suprême délice de libération, une prière pour que l’amour soit bien-aimé… Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard
57 naissent en moi. Cependant que l’autre, trop vite pour que j’ai pu bouger, a baisé sur les lèvres une femme qui devient pâle et
58 is les jeunes filles sont parfois trop émouvantes pour qu’ on ose les embrasser. — Je tenais sa main, — ho ! qui l’a retirée des
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
59 s vignes, à peine détachée du flanc de la colline pour que les vents ne l’emportent pas, un beau nid de poète : car demeurer ici
60 couent leurs cheveux et tendent les bras en riant pour qu’ on les relève. Elles : des Vénitiennes aux yeux de plaine, comme les a
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
61 vante Bettina, rêvé sans doute assez profondément pour qu’ aujourd’hui le hasard qui m’amène à Tubingue ne soit pas seulement un
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
62 Étranger. On a laissé sa photo dans ma chambre, «  pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa mère, avec un clin d’œil. C’est u
63 ma chambre ; aussi, une ancienne fatigue à guérir pour qu’ on me laisse errer dans la campagne. La petite ville au crépuscule, co
64 e a rapidement noué son collier à mon poignet : «  pour que je rêve d’elle ». Son sérieux enfantin devant la vie. « Es ist doch S
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
65 terais ici volontiers. » Il a fallu le prix Nobel pour qu’ on s’aperçût un beau jour qu’il était parmi nous, caché dans sa pèleri
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
66 ubsistent chez nous) et les refermions avec soin, pour que les vaches n’aillent point changer de propriétaire. Nous marchions à
38 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
67  » elle fut, comme vous le dites, « trop claire » pour qu’ un esprit tel que le vôtre pût un seul instant s’y tromper : c’est en
39 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
68 difficile à localiser et beaucoup trop imprécise pour que l’homme, faible créature, puisse s’y « fier » et se passer de recette
40 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
69 e Dieu, si souvent contraire à la sienne ?) Prier pour qu’ il fasse beau demain, ce n’est pas prier, c’est exprimer un vœu, un vœ
41 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
70 s mots. Je voudrais simplement en avoir dit assez pour qu’ il soit inutile d’insister davantage sur ce fait : nos dialectiques hu
42 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
71 ligieuse, problème de Dieu. Il n’en faut pas plus pour que se lèvent de toutes parts de troublants paradoxes. La Bible nous parl
43 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
72 de toute révolution est dans un renoncement. Mais pour que l’acte soit réel, encore faut-il une doctrine et des institutions qui
44 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
73 in de compte — des abstractions. Et je le répète, pour que ces ismes aient, à nos yeux, un destin, il faut que nous ayons pris l
45 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
74 du, d’homme en soi, d’homme type, est trop connue pour que nous la reprenions ici. On sait comment cette notion a passé dans les
46 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
75 r, on le tue dans des conditions trop déprimantes pour qu’ il puisse songer même à résister. C’est ainsi une suspension du jugeme
47 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
76 nt un certain nombre de faits assez bouleversants pour qu’ on passe sur les interprétations personnelles que nous en propose l’au
48 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
77 confusion inconsciente ou voulue, mais trop grave pour que nous ne la dénoncions point. Du chapitre sur l’Éducation, je retiens
49 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
78 te action particulière. (Ainsi rêve l’idéalisme.) Pour qu’ il y ait une réalité, pour qu’il y ait quelque chose de concret, il fa
79 rêve l’idéalisme.) Pour qu’il y ait une réalité, pour qu’ il y ait quelque chose de concret, il faut une mise en présence certif
50 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
80 sur le territoire ennemi. Je fais de la politique pour qu’ on n’en fasse plus, ou plutôt pour qu’un jour des hommes comme moi qui
81 a politique pour qu’on n’en fasse plus, ou plutôt pour qu’ un jour des hommes comme moi qui n’ont le goût ni des habiletés ni des
51 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
82 st trop exceptionnelle — sinon même scandaleuse — pour qu’ on puisse négliger les arguments « humains ». Comment veut-on que le c
52 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
83 n de compte — des abstractions. Et, je le répète, pour que ces ismes aient, à nos yeux, un destin, il faut que nous ayons pris l
53 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
84 e Dieu, si souvent contraire à la sienne ?) Prier pour qu’ il fasse beau demain, ce n’est pas prier, c’est exprimer un vœu, un vœ
54 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
85 t, hélas ! que les chrétiens l’aient bien oublié, pour qu’ ils admirent avec nostalgie l’enthousiasme soulevé par la construction
55 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
86  idéal » que nous avons à lutter maintenant, mais pour que les hommes vivent et demeurent des hommes. Il y a deux camps : ceux q
87 toutes les conditions théoriques prévues par Marx pour qu’ une révolution éclate. Il ne se passe rien. Parce qu’on manque de chef
56 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
88 du, d’homme en soi, d’homme type, est trop connue pour que nous la reprenions ici. On sait comment cette notion a passé dans les
57 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
89 pensantes ont trop vanté la primauté du spirituel pour qu’ il s’agisse encore, pour elles, d’un spirituel vraiment vivant. Le spi
58 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
90 sur le territoire ennemi. Je fais de la politique pour qu’ on n’en fasse plus, ou plutôt pour qu’un jour des hommes comme moi qui
91 a politique pour qu’on n’en fasse plus, ou plutôt pour qu’ un jour des hommes comme moi qui n’ont le goût ni des habiletés ni des
59 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
92 st trop exceptionnelle — sinon même scandaleuse — pour qu’ on puisse négliger les arguments « humains ». Comment veut-on que le c
60 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
93 n de compte — des abstractions. Et, je le répète, pour que ces ismes aient, à nos yeux, un destin, il faut que nous ayons pris l
61 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
94 Dieu, si souvent contraire à la sienne ?) Prier pour qu’ il fasse beau demain, ce n’est pas prier, c’est exprimer un vœu, un vœ
62 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
95 t, hélas ! que les chrétiens l’aient bien oublié, pour qu’ ils admirent avec nostalgie l’enthousiasme soulevé par la construction
63 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
96  idéal » que nous avons à lutter maintenant, mais pour que les hommes vivent et demeurent des hommes. Il y a deux camps : ceux
97 toutes les conditions théoriques prévues par Marx pour qu’ une révolution éclate. Il ne se passe rien. Parce qu’on manque de chef
64 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
98 du, d’homme en soi, d’homme type, est trop connue pour que nous la reprenions ici. On sait comment cette notion a passé dans les
65 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
99 pensantes ont trop vanté la primauté du spirituel pour qu’ il s’agisse encore, chez elles, d’un spirituel vraiment vivant. Le spi
66 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
100 agement dont tout le monde abuse aujourd’hui81. ⁂ Pour qu’ une pensée s’engage dans le réel, il ne faut pas ni ne saurait suffire
67 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
101 ent soit remis à son équipe d’éducateurs, et ceci pour qu’ elle s’institue en véritable « caste dirigeante ». Or il est clair que
68 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
102 écrit du reste). Il laisse deviner trop de choses pour qu’ on lui pardonne de ne pas insister ; de ne pas réaliser plus carrément
69 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
103 ui qui a été annoncé aux prophètes et aux apôtres pour qu’ ils en témoignent ensuite, — autre est le temps de ce témoignage, le t
70 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
104 e morale qui, trop profondément ancrée en l’homme pour qu’ elle disparaisse par une simple incantation de mots d’ordre, détermine
71 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
105  ; à gauche une peur du fascisme assez forte déjà pour que la masse accepte l’idée d’une dictature… « antifasciste ». Tout cela
72 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
106 fait peindre ces planchers, des années plus tard, pour que vous n’ayez plus jamais à les frotter. Après le plancher vous brossez
73 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
107 ant de parler il faut savoir le sens des mots. Et pour que les mots aient un sens, un sens commun, et entendu de tous, il faut q
74 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
108 raire poser à côté d’un rouge vif un vert violent pour que l’ensemble « chante ». Lui. — Belle composition esthétique ! Je vous
75 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
109 e manque certainement d’« onction ». Est-ce assez pour qu’ on l’écarte ? Ne se pose-t-elle jamais aux catholiques ? Pourtant, je
76 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
110 parlé, il a suffi de quelques années de ce régime pour qu’ ils se vissent acculés soit à la faillite, soit à se vendre aux Messag
77 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
111 n mythe ? Il a fallu les ténèbres du xixe siècle pour que l’on prît ce mot pour synonyme de mensonge, qui n’est qu’un sens déri
78 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
112 ne révolution, non d’une émeute dans les lettres. Pour qu’ une école se crée, il faut qu’une base commune existe, qui n’existe pl
79 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
113 car l’étymologie est trop loin d’être une science pour que l’adoption même d’une « origine » soit autre chose qu’un choix délibé
80 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
114 ur d’être évidente, et il n’en faut pas davantage pour qu’ on la néglige aujourd’hui. Toute l’ambition de cet ouvrage n’est-elle
115 atérialisme n’a pas besoin de se dire dialectique pour qu’ apparaisse l’ironie qui le tourmente sans espoir, ironie triste de cet
116 t-être trop souvent, mais ce n’est pas une raison pour que ce soit un mensonge », écrivait Nietzsche dans Aurore. 57. Je ne vis
81 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
117 , que cette mesure existe, qu’elle a un sens. Or, pour qu’ une chose, ou une action ou une réalité quelconque possède un sens, il
118 lut de l’Occident, ou comme disent les marxistes, pour que l’histoire dure, — après tout ce n’est pas cela qui nous importe — ma
119 nous importe — mais pour le salut de la pensée et pour que l’homme reste humain, ou le devienne. Certes, quand nous parlons d’un
120 es gens ne sauve personne et en dit beaucoup trop pour que les poètes mêmes la prennent au sérieux. C’est pourquoi ils la prenne
121 atrices de la valeur d’application des mots. Mais pour qu’ une telle œuvre ne tourne pas à l’avantage exclusif des clercs proléta
122 imple et aussi tangible ? Songeons qu’il a fallu, pour que ces signes apparaissent, un immense appel de l’esprit, une constructi
123 et les mille petites souffrances de la souffrance pour qu’ une idée devienne ce mythe qui vive en nous et dans lequel nous vivion
82 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
124 ur d’être évidente, et il n’en faut pas davantage pour qu’ on la néglige aujourd’hui. Toute l’ambition de cet ouvrage n’est-elle
125 atérialisme n’a pas besoin de se dire dialectique pour qu’ apparaisse l’ironie qui le tourmente sans espoir, ironie triste de cet
126 t-être trop souvent, mais ce n’est pas une raison pour que ce soit un mensonge », écrivait Nietzsche dans Aurore. 59. Je ne vi
83 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
127 , que cette mesure existe, qu’elle a un sens. Or, pour qu’ une chose, ou une action ou une réalité quelconque possède un sens, il
128 lut de l’Occident, ou comme disent les marxistes, pour que l’histoire dure, — après tout ce n’est pas cela qui nous importe — ma
129 nous importe — mais pour le salut de la pensée et pour que l’homme reste humain, ou le devienne. Certes, quand nous parlons d’un
130 es gens ne sauve personne et en dit beaucoup trop pour que les poètes mêmes la prennent au sérieux. C’est pourquoi ils la prenne
131 atrices de la valeur d’application des mots. Mais pour qu’ une telle œuvre ne tourne pas à l’avantage exclusif des clercs proléta
132 ussi simple et tangible ? Songeons qu’il a fallu, pour que ces signes apparaissent, un immense appel de l’esprit, une constructi
133 et les mille petites souffrances de la souffrance pour qu’ une idée devienne ce mythe qui vive en nous et dans lequel nous vivion
84 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
134 s de tous nos amis, frontistes ou non frontistes, pour qu’ ils comprennent l’intérêt exceptionnel que présente la formation des c
135 exceptionnel que présente la formation des clubs, pour qu’ ils y collaborent activement, pour que dans leur localité, si éloignée
136 des clubs, pour qu’ils y collaborent activement, pour que dans leur localité, si éloignée, si peu importante soit-elle, le club
85 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
137 t économiques de cette évolution sont trop connus pour que nous ayons à les rappeler ici. Notons simplement que la lutte de Colb
86 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
138 es plus grands de nos écrivains ont beaucoup fait pour qu’ il se perde en se « distinguant » volontairement des préoccupations, j
87 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
139 ux du monde est assez héroïque, dans notre monde, pour qu’ il soit vain de chercher mieux. 12 janvier 1935 Ces cochons-là ! — Si
88 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
140 ont assez rares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’ un lecteur qui refuse l’essentiel soit tout de même attiré et subjugué
141 are, et pour beaucoup trop difficile à concevoir, pour qu’ on puisse écarter cette objection par un simple rappel de l’ordre dans
89 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
142 nt à vrai dire les suites sont assez pittoresques pour qu’ un « poète » — au sens banal du terme — préfère en ignorer la cause ?
90 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
143 ont assez rares, et chez Luther assez flagrantes, pour qu’ un lecteur qui refuse l’essentiel — c’est-à-dire la foi de Luther — so
91 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Éluard, L’Évidence poétique (juin 1937)
144 qui est sienne, n’aura plus qu’à fermer les yeux pour que s’ouvrent les portes du merveilleux. » Phrase étonnante à la fois par
92 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
145 aime avoir un député instruit. Mais ce n’est pas pour qu’ il dise des choses intelligentes, ou nouvelles. C’est surtout parce qu
93 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
146 t l’auditoire du temple est décuplé : cela suffit pour qu’ on maintienne le poste… J’essaie de me représenter l’existence quotidi
94 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
147 ces d’humour, comme pour purifier l’émotion. Mais pour qu’ une telle phrase soit dite, il faut des âmes fortement tendues. Et pou
148 soit dite, il faut des âmes fortement tendues. Et pour que cette même phrase soit aussitôt mise en pratique par le héros, sans n
149 s doucement tyranniques, tout cela semble disposé pour que se nouent les drames complexes dont s’est nourri depuis cent ans le g
95 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
150 vie politique.) Il est clair, et on le dit assez pour que je n’aie pas à insister, que l’armée d’un petit pays neutre est très
96 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au dossier d’une vieille querelle (novembre 1937)
151 t bon d’engager la raison dans la vie : non point pour qu’ elle y reçoive des outrages, mais pour qu’elle-même en fasse subir de
152 n point pour qu’elle y reçoive des outrages, mais pour qu’ elle-même en fasse subir de salutaires à une vie qui en a grand besoin
97 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
153 ce niveau où le langage est suffisamment habituel pour que les petites déformations qu’il subit dans un groupe donné deviennent
98 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
154 peut-être suffit-il de changer le cadre matériel pour que le contenu se transforme ? N’a-t-on pas démontré déjà que la culture,
155 » ou « étatistes » de la révolution matérialiste. Pour qu’ une telle pesanteur ne gagne pas sans cesse sur les élans révolutionna
99 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
156 aime avoir un député instruit. Mais ce n’est pas pour qu’ il dise des choses intelligentes, ou nouvelles. C’est surtout parce qu
157 t l’auditoire du temple est décuplé : cela suffit pour qu’ on maintienne le poste… J’essaie de me représenter l’existence quotidi
158 mblable » même ; car enfin il n’y a pas de raison pour que les habitants de cette ville soient sensiblement plus laids que ceux
159 spèce d’affolement. Il n’a pas fallu deux minutes pour qu’ ils arrivent de tous côtés, comme par hasard, à la fameuse planche de
100 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
160 ux du monde est assez héroïque aux yeux du monde, pour qu’ il soit vain de chercher mieux. 20 décembre 1934 « Ô pays sans m